Nous avons fermé vos livres d'histoire pour retrouver notre mémoire.
Nous avons cessé de croire que Kader pouvait être notre frère, la planète notre village et l'humanité notre famille. Nous avons découvert que nous avions des racines, des ancêtres, et donc un avenir.
Ne vous méprenez pas : ce texte n’est pas un simple manifeste,
c’est une déclaration de guerre.
c’est une déclaration de guerre.
Nous sommes la GÉNÉRATION IDENTITAIRE
Nous sommes la génération de la fracture ethnique, de la faillite totale du vivre-ensemble, du métissage imposé.
Nous sommes la génération de la double-peine : condamnés à renflouer un système social trop généreux avec les autres pour continuer à l’être avec les nôtres.
Nous sommes la génération victime de celle de Mai 68. De celle qui prétendait vouloir nous émanciper du poids des traditions, du savoir, et de l’autorité à l’école mais qui s’est d’abord émancipée de ses propres responsabilités.
Nous avons fermé vos livres d’histoire pour retrouver notre mémoire.
Nous avons cessé de croire que Kader pouvait être notre frère, la planète notre village et l’humanité notre famille. Nous avons découvert que nous avions des racines, des ancêtres, et donc un avenir.
Notre seul héritage c’est notre terre, notre sang, notre identité. Nous sommes les héritiers de notre destin.
Nous avons éteint la télévision pour descendre à nouveau dans la rue. Nous avons peint nos slogans sur les murs, scandé « la Jeunesse au pouvoir » dans nos mégaphones, brandi bien haut nos drapeaux frappés du lambda. Ce lambda qui ornait le bouclier des glorieux Spartiates est notre symbole. Vous ne comprenez pas ce qu’il représente ? Il signifie que nous ne reculerons pas, que nous ne renoncerons pas. Lassés de toutes vos lâchetés, nous ne refuserons aucune bataille, aucun défi.
Vous êtes les Trente Glorieuses, les retraites par répartition, SOS Racisme, la « diversité », le regroupement familial, la liberté sexuelle et les sacs de riz de Bernard Kouchner. Nous sommes 25% de chômage, la dette sociale, l’explosion de la société multiculturelle, le racisme anti-blanc, les familles éclatées, et un jeune soldat français qui meurt en Afghanistan.
Vous ne nous aurez pas avec un regard condescendant, des emplois-jeunes et une tape sur l’épaule : pour nous, la vie est un combat.
Nous n’avons pas besoin de votre politique de la jeunesse. La jeunesse est notre politique.
Ne vous méprenez pas : ce texte n’est pas un simple manifeste, c’est une déclaration de guerre.
Nous sommes demain, vous êtes hier.
Nous sommes la Génération Identitaire
http://www.generation-identitaire.com/
3 comentarii:
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Ei, daca sa-au aruncat in circulatie ''atitudini'' de astea incepe sa
fie serios. Cind tinerii, ''carnea de tun'' inocenta, dar usor de
manipulat si de trimis chiar si la moarte pentru atingerea unor scopuri,
intotdeauna straine tinerei generatii, sint impinsi in fata, inseamna
ca ne asteapta vremuri grele !
Primele victime vor fi vei de virsta a treia si grupurile sociale considerate incomode sau greu de convertit la ''lumea noua viitoare''.
Am asa o presimtire ca evenimentele vor semana extrem de mult cu cele care au avut loc in Rusia dupa 7 noiembrie 1917 sau in Romania dupa 6 martie 1946.
NUMBED BY LIES
The Age of Terror that began in Europe in 1789-92 and became institutionalized in service of an impoverished, totally managed global system after 2001 is the era of State Control and the triumph of official (State) fictions over life. Technology enables the punitive aspects of transparency[9] (the end of privacy and personal safety) and the dominion of imagery, of the false smile and relentless selling of lethal products. The ordering principle of the Postmodern State is fiat, from currencies to interest rates to the destruction of language and evidentiary rules. There is nothing to rely on: man’s own household and helpmate become his worst enemy. Women marry the State in myriad perverse manners matching the various kinds of domestic unions that serve the reduction of human inventory goal. Note that the new roles and usurpation of male roles into which the masters of the media have seduced women can never satisfy them for they require the surrender of natural femininity, of female biology and the roles linked to it. Thus being radically displaced, hysteria and terror ensue with further ‘security’ measures promising to fill the void they have hollowed out. This is the kind of self-sustaining system of terror and artifice the matrix prefers: the machine runs itself needing only a bit of steering.
The choice is to get American children out of State schools whose purpose is to indoctrinate and manage,[14] cut the size and expenditures of government greatly and let their employees, if they are able to work, find work for the industries that will come back home; or continue into the winter of a totalitarian and punitive State that kills by impoverishment, sterility, ‘transparency’ and the death of justice and thought. The media serves the State “as the great keyboard” it plays with ever more numbing fervor. The dogmas of State ‘necessity’ and ‘he war on terror [sic] “make lying a universal principle.”[15]
http://www.newswithviews.com/Narrett/eugene181.htm- Se anunţă cataclisme majore.